On lira ici les chroniques souvent virulentes que le jeune Brassens, encore inconnu, avait confiées sous un pseudonyme à un hebdomadaire anarchiste. Il y clame sans fard son dégoût de la société, de l'hypocrisie et des asservissements de toutes sortes (les gendarmes, l'armée, l'argent, la religion, la politique...).