L'auteur est toujours resté fidèle à la poésie, comme le prouvera une belle anthologie recouvrant l'essentiel de sa production de 1924 à 1967. On y retrouve de nombreux recueils, notamment de l'après-guerre, dont "La Colonne ardente" (1961). "Ivoiriennes" viendra compléter la série en 1968. Jans chante sa foi en l'homme et son espérance en la vie ; sa foi chrétienne s'y révèle d'une vérité et d'une sincérité absolues.