D'une écriture caustique, l'auteure des enquêtes du commissaire Brunetti dépeint son lieu de résidence depuis vingt-cinq ans, Venise, mais sans sombrer dans le cliché de la carte postale : la dolce vita y côtoie la mafia. Avec le même ton drôlatique, la même acuité de regard, elle traite de la musique, de l'homme, de l'animal, de l'Amérique, des livres.