En première ligne dans les cas de violences sexuelles, les psychologues, psychnalystes et psychiatres ne sont pourtant pas prêts pour aider les victimes. En cause, une théorie freudienne qui nie la réalité du traumatisme au profit de celle du fantasme. Cette faille thérapeutique, qui a conduit des générations de praticiens dans une impasse, est ici analysée.