2080, après une tentative de suicide, Edith, 28 ans, se retrouve propulsée en 1905, un siècle et demi avant sa naissance. Elle essaie de se fondre dans ce nouveau paysage, mais ses connaissances la placent rapidement sous les projecteurs et à de hautes fonctions. Mais elle sent bien que tout ceci n'est pas normal. Sa condition de " suicidée " y serait-elle pour quelque chose ? Et si en finir avec la vie n'était pas mourir mais changer d'époque ? C'est ce que découvre Edith quand elle décide de mettre fin à ses jours mais qu'elle se réveille dans un lit d'hôpital en... 1905, plus de 150 ans avant sa naissance. A peine remise de son passage à l'acte, elle est embauchée par un grand industriel pour ses connaissances scientifiques - plus d'un siècle d'avance, ça aide. Alors qu'elle est choyée comme un être précieux, les discours autour d'elle sont de plus en plus ambigus. Tandis que certains l'acclament comme une visionnaire, d'autres semblent connaître son secret. Et si elle était loin d'être la seule dans son cas ? [Amazon] Tuer le temps, le premier roman de Paul Joubert alias Grosso Modo Et si en finir avec la vie n'était pas mourir mais changer d'époque ? C'est ce que découvre Édith quand elle décide de mettre fin à ses jours mais qu'elle se réveille dans un lit d'hôpital en... 1905, plus de 150 ans avant sa naissance. À peine remise de son passage à l'acte qu'Alfred de Crancy, héritier d'un empire industriel, lui propose d'intégrer l'entreprise familiale à de hautes fonctions en échange de ses connaissances sur les innovations futures. Alors qu'elle est choyée comme un être précieux, les discours autour d'elle sont de plus en plus ambigus. Tandis que certains l'acclament comme une visionnaire, d'autres, comme ce magnat des affaires qu'on surnomme " l'Oncle ", semblent connaître son secret. Et si elle était loin d'être la seule dans son cas ? Dans ce roman, plongez dans une véritable machination où les époques s'entremêlent et même la vérité prend des allures de mensonge.
Le coup de coeur de Dylan (Bibliothèque d'Estaimpuis)
Edith, parisienne trentenaire, n'en peut plus. Un soir, seule et sans espoir, elle se suicide. Mais ironie de la vie (ou de la mort !), elle se réveille quelques secondes après dans un Paris en proie à la peste noire. Sans comprendre, elle se jette dans la Seine pour se suicider une seconde fois. Et la voilà qui se réveille dans un lit d'hôpital ... en 1905 ! À peine remise de son passage à l'acte qu'Alfred de Crancy, héritier d'un empire industriel, lui propose d'intégrer l'entreprise familiale à de hautes fonctions en échange de ses connaissances sur les innovations futures. Alors qu'elle est choyée comme un être précieux, les discours autour d'elle sont de plus en plus ambigus. Tandis que certains l'acclament comme une visionnaire, d'autres, comme ce magnat des affaires qu'on surnomme « l'Oncle », semblent connaître son secret et peut-être la connaître elle-même. Et si elle était loin d'être la seule dans son cas ? Un excellent premier roman pour Paul Joubert. Loin d’être un pur récit de science-fiction, la mécanique du suicide dans le temps créé par l’auteur est surtout un prétexte pour aborder d’autres sujets comme la pérennité des connaissances et la transmissions des savoirs. C’est aussi l’occasion pour l’auteur d’offrir une réponse toute personnelle et particulière à une question qui le fascine et qui a fasciné de tous temps : qu’y a-t-il après la mort ?