Le Louvre, 1655. Catherine Beauvais, dite Cateau la borgnesse, promène sa difformité incongrue dans les couloirs du plus beau palais du monde. Sa présence indispose tout autant que la confiance que lui témoigne Anne d'Autriche. C'est que Catherine possède une connaissance unique des plantes, des ventres et des clystères. Cette science, alliée à une intelligence et une sensibilité hors du commun, lui a permis de se frayer un chemin jusqu'au postérieur de Sa Majesté la reine, une gloutonne qui, quotidiennement, se bourre de saucisses, de côtelettes et de pain bouilli. Comment se faire une place à la Cour, ce cénacle qui ne jure que par la beauté des formes, quand on est une créature issue d'un milieu modeste, habituée à inspirer le dégoût et la détestation ? Une plongée au royaume des apparences, où les monstres ne sont pas ceux que l'on croit. Le Louvre, 1655. Catherine Beauvais, dite Cateau la borgnesse, promène sa difformité incongrue dans les couloirs du plus beau palais du monde. Sa présence indispose tout autant que la confiance que lui témoigne Anne d'Autriche. C'est que Catherine possède une connaissance unique des plantes, des ventres et des clystères. Cette science, alliée à une intelligence et une sensibilité hors du commun, lui a permis de se frayer un chemin jusqu'au postérieur de Sa Majesté la reine, une gloutonne qui, quotidiennement, se bourre de saucisses, de côtelettes et de pain bouilli. Comment se faire une place à la Cour, ce cénacle qui ne jure que par la beauté des formes, quand on est une créature issue d'un milieu modeste, habituée à inspirer le dégoût et la détestation ? Une plongée au royaume des apparences, où les monstres ne sont pas ceux que l'on croit.
L'histoire de Catherine Bellier, dite Cateau la Borgnesse. femme de chambre d'Anne d'Autriche. Avec son visage particulièrement disgracieux, sa vive intelligence, elle est experte en plantes médicinales et s'occupe de l'appareil digestif (pour faire simple) de la Reine.
Je vous laisse découvrir ce roman à l'écriture belle, pleine d'humour, savoureuse...
Myriam