*« Je vais te raconter ma vie. Une vie de surprises, de chocs et de désillusions qui m'a fait prendre conscience de la fragilité de l'existence. Mais un parcours ponctué d'expériences plus ou moins heureuses dont j'ai toujours tiré une leçon. Et déjà, tu le sais, puisque c'est le titre du livre : avant d'être Vincent, je m'appelais Franck... ». « Le Bigdil », « Le Juste Prix », « Fort Boyard », pendant deux décennies Vincent Lagaf' s'est invité dans les salons des Français. Dans cette autobiographie, il revient sur son enfance : celle d'un gamin qui s'appelait Franck et qui, très tôt, a été adopté. De cette jeunesse cabossée, il a puisé une énergie et une drôlerie qui lui ont servi de cuirasse pour s'imposer dans le monde de la télé. Porté par une sensibilité à fleur de peau, il a remonté le chemin de sa vie pour retrouver sa mère biologique et lui dire qu'il l'aimait. À la lecture de ce récit, on rit, on sursaute, mais on se laisse aussi gagner par une émotion qui met longtemps à se dissiper. [4ème de couv.] *Dans cette autobiographie, l'humoriste raconte son parcours d'enfant abandonné qui, à la naissance, était prénommé Franck ainsi que sa carrière marquée par divers aléas et par un passage au Club Med qui lui a été salutaire. Sa sensibilité l'a notamment amené à retrouver sa mère biologique et à lui confier son amour. [source : Electre]
Le coup de coeur de Véronique (Bibliothèque d'Estaimpuis)
Cette autobiographie de Vincent Lagaf’ est une surprise, une lecture inattendue qui se transforme en une histoire passionnante. Lagaf’ est un personnage public dont les frasques sont en réalité une façade, une sorte de protection. Derrière le masque, Franck est un mec au grand cœur qui s’est fait avoir plus d’une fois, et qui a mené une vie de dingue sans jamais avoir peur de rien. Grâce à sa plume « cash » et authentique, le lecteur retrouve le franc-parler de l’animateur et surtout découvre son histoire racontée de façon sincère et sans langue de bois. Son humour, son sens de l’auto-dérision ressortent dans son écriture. Bravo à lui pour cette histoire sans fioriture ni prétention, mais incroyablement humaine.